jeudi 14 avril 2016

Scent of a viking

Purday, fatiguée, sillone Paris. Toujours à courir d'une échéance à l'autre, à agir mécaniquement dans le quotidien.
Purday se coupe de sa vie d'avant pour entrer dans une autre. Une vie sans ses yeux bleus si expressifs.
Purday, on lui a arraché ses tripes et on voudrait qu'elle aille bien, qu'elle soit comme avant, toute affamée de lui, comme si de rien n'était.
On voudrait qu'elle réponde "ça va" et qu'elle soit aussi marrante qu'avant, égoïstement.

Va fanculo.
C'est plus pareil maintenant. Même si je le voulais, je ne serai plus jamais la même.
Qui m'aime me suive.