Je me souviens souvent de cette scène, à Paris, quand il sortait de la douche. La pièce embaumait les vapeurs de savon d'Alep. Il est sorti dans l'embrasure de la salle de bain, massif et moite. Il me regarde en souriant et en se touchant la base de la bite. Il a remué tout le paquet en me souriant pleines dents, le visage très lumineux, ses yeux relevés en amande.
Je ne me souviens plus de ce qu'il a dit, mais, sur ce lit défait, nue et assise le dos contre le mur, je le regarde avec grand plaisir. Il est beau à être massif comme ça, les gestes un peu brutaux, pleins de force.
L'eau goutte de ses cheveux dans sa nuque et sur sa poitrine qui se soulève de rire.
Il faudrait qu'il se voie et comprenne combien il dégage un charme puissant et réconfortant. Son énergie a du charme, son intelligence intéresse les gens intéressants.
J'ai envie de lui, évidemment.