Je le
trouve terriblement attirant. J’ai des images torrides qui affluent dans mon
cerveau, le jour. La nuit je ne me
souviens jamais.
Je le vois au-dessus de moi, le
bras tendu m’étranglant un peu, les cheveux tombants en rideaux devant ses yeux
verts clairs et bougeants comme sous un souffle léger de vent.
Chaque coup me fait du bien, je
ne sais plus où mais, partout du coup. Il me regarde fixement comme pour
deviner le bon moment. Je vois enfin son corps. Toutes ces semaines à attendre
les images fortes de ce moment. Le soulagement est à la hauteur du plaisir.
Je m’échoue des heures ensuite.